02/09/2025

La kinésiologie n’est pas une course, mais une exploration.
Imaginez un stress chronique lié au travail : il s’est installé sur des mois, voire des années, enroulant ses racines autour de vos pensées et de vos émotions, et créant des connexions neuronales associées à la peur ou à l’anxiété. Une séance peut vous aider à en identifier l’origine (une peur de l’échec, un manque de reconnaissance), mais le "désamorcer" demandera du temps, comme dénouer un nœud serré. Vos blocages ne se sont pas créés en un jour ; ils ne disparaîtront pas en une heure.
Pourquoi ? Parce que votre corps et votre esprit ont besoin de réapprendre à fonctionner différemment. Comme un musicien qui répète une mélodie jusqu’à ce qu’elle devienne naturelle, votre système nerveux a besoin de pratique pour ancrer de nouveaux schémas. Une étude publiée dans Nature Neuroscience (2018) montre que la neuroplasticité — la capacité du cerveau à se réorganiser — nécessite une exposition progressive pour ancrer de nouveaux comportements, comme un musicien répète une partition jusqu’à ce qu’elle devienne instinctive.
|
Référence : Namburi, P., & Tye, K. M. (2018). The amygdala and prefrontal cortex in decision-making. Nature |
Alors, pourquoi nos blocages résistent-ils autant ? Parce que notre cerveau est programmé pour se méfier du changement — même quand il est bénéfique.

Nos blocages sont comme des pelotes de laine emmêlées : plus on tire dessus brutalement, plus le nœud se serre.
Voici pourquoi ils résistent :
a) Le cerveau et la peur de l’inconnu : un frein naturel
Notre cerveau préfère un mal connu à un bien inconnu. Même si une croyance ou une émotion vous limite, elle vous est familière — et donc rassurante. Ce phénomène, appelé biais de statu quo, est lié à l’activation de l’amygdale, une région cérébrale impliquée dans la gestion de la peur. Quand un changement se profile (même positif), l’amygdale active des signaux d’alerte, comme si elle disait : "Reste dans ta zone de confort, c’est plus sûr."
Prenez une phobie, comme la peur de l’avion. La kinésiologie peut révéler que cette peur est liée à un souvenir d’enfance (un film angoissant, une turbulence vécue comme un traumatisme). Mais pour que le cerveau "réapprenne" à associer l’avion à la sécurité, il faut répéter l’expérience en séance, comme on s’entraîne à monter à vélo après une chute.
Référence : LeDoux, J. (1996). The Emotional Brain: The Mysterious Underpinnings of Emotional Life. Simon & Schuster. → LeDoux explique comment les souvenirs traumatisants s’encodent dans le cerveau et pourquoi leur désactivation demande du temps et de la répétition. |
b) Des études le confirment
Des recherches en neurosciences, comme celles présentées dans The Brain That Changes Itself de Norman Doidge, montrent que le cerveau met en moyenne 3 à 6 mois à ancrer de nouveaux schémas comportementaux. Une séance est un début, mais c’est la répétition qui crée un changement durable.
C’est pourquoi, en kinésiologie, on parle de processus plutôt que de solution instantanée : chaque séance est une étape vers cette réorganisation cérébrale.
Référence : Doidge, N. (2007). The Brain That Changes Itself: Stories of Personal Triumph from the Frontiers of Brain Science. Penguin Books. → Doidge illustre la plasticité cérébrale à travers des exemples concrets, comme des patients récupérant après un AVC grâce à une rééducation progressive. |

Chacun avance à son propre tempo. Certains ressentent un soulagement dès la première séance, d’autres ont besoin de plusieurs rendez-vous pour observer des changements.
• Votre histoire est unique — alors pourquoi votre parcours de kinésiologie ne le serait-il pas ?
• Votre corps est comme un livre dont les chapitres s’écrivent au fil des séances. La première page ne raconte pas toute l’histoire.
Comparaison : Si votre ami·e guérit d’une blessure en trois séances alors que vous en avez besoin de six, cela ne signifie pas que "ça ne marche pas". Cela signifie simplement que votre chemin est différent.
Cette variabilité s’explique par des différences dans :
• La sensibilité du système nerveux (certains sont naturellement plus réactifs au stress).
• L’épigénétique : vos gènes interagissent avec votre environnement pour façonner votre résilience. Une étude de Nature Reviews Genetics (2015) montre que les expériences passées modulent l’expression de gènes liés au stress, rendant chaque parcours unique.
Par exemple, une personne ayant vécu un traumatisme précoce peut avoir besoin de plus de séances qu’une autre pour rééquilibrer son système nerveux, car ses 'circuits de stress' sont plus profondément ancrés.
Référence : Meaney, M. J. (2015). Epigenetics and the biological definition of gene × environment interactions. Nature Reviews Genetics, 16(1), 59-68. → Cette recherche souligne comment l’histoire personnelle influence la réponse au stress et la capacité à changer. |
La kinésiologie fonctionne comme l’épluchage d’un oignon : couche après couche.
• Première couche : les tensions visibles (stress, anxiété, douleurs physiques).
• Couches suivantes : les émotions enfouies (colère, tristesse, peurs anciennes).
• Cœur de l’oignon : les croyances profondes, souvent liées à l’enfance ou à des schémas familiaux.
Pourquoi ne pas tout éplucher d’un coup ? Parce que cela activerait une surcharge émotionnelle, serait douloureux et contre-productif. Imaginez que l’on vous demande de revivre toutes vos émotions difficiles en une seule fois… Ce serait comme avaler l’oignon entier : les larmes couleraient, et vous ne seriez pas prêt·e à avancer.
Comme le montre une étude sur le traitement des traumatismes (Journal of Traumatic Stress, 2010), le cerveau a besoin de dosages progressifs pour intégrer les prises de conscience sans se sentir submergé.
En kinésiologie, on avance ensemble, à votre rythme — comme on épluche un oignon : une couche à la fois, avec ses émotions, ses surprises, et ses prises de conscience. Pas de précipitation, juste l’écoute de ce qui émerge, quand vous êtes prêt·e.
Référence : van der Kolk, B. (2010). Developmental trauma disorder: Toward a rational diagnosis for children with complex trauma histories. Journal of Traumatic Stress, 23(3), 391-393. → Van der Kolk explique pourquoi un travail thérapeutique trop rapide peut retraumatiser plutôt que guérir. |
Le rôle du kinésiologue n’est pas de "réparer" ce qui ne va pas, mais de vous accompagner pour activer vos propres ressources et que vous trouviez vos propres solutions.
• Ce qu’il/elle fait :
◦ Crée un espace sécurisé pour explorer vos blocages.
◦ Utilise des outils (comme le test musculaire) pour identifier les déséquilibres et ce qui est source de stress.
◦ Vous guide vers une meilleure compréhension de vous-même.
• Ce qu’il/elle ne fait pas :
◦ Vous dire ce que vous devez faire.
◦ Forcer un changement que vous n’êtes pas prêt·e à vivre.
Par exemple, si vous ressentez une douleur chronique au dos, le kinésiologue explorera avec vous les liens possibles entre cette douleur et des tensions émotionnelles (stress, colère refoulée, etc.).
Le kinésiologue est un traducteur : il aide à décoder les messages que votre corps murmure depuis des années. Une séance, c’est comme ouvrir une lettre écrite dans un langage secret – celui de votre corps et il faut du temps pour en saisir toute la signification.
Référence : Van der Kolk, B. (2014). The Body Keeps the Score: Brain, Mind, and Body in the Healing of Trauma. Viking. → Van der Kolk montre comment le corps stocke les traumatismes et comment les libérer en douceur. |
Une première séance peut apporter :
• Un souffle d’air frais (la libération d’endorphines, ces molécules du bien-être).
• Une prise de conscience (comme une lumière qui s’allume dans une pièce obscure).
• L’éveil de ressources insoupçonnées (cette force tranquille que vous aviez enfouie).
Mais attention : ce n’est qu’un début.

Planter une graine et s’impatienter parce qu’elle ne devient pas un arbre en une nuit, c’est oublier que la nature a son propre rythme. Comme une graine, le changement a besoin de terreau, d’eau et de soleil pour grandir.
Ces premiers pas sont précieux, mais c’est à vous de les faire grandir entre les séances en pratiquant les outils proposés notamment.
La kinésiologie ne promet pas de miracles, mais elle offre quelque chose de bien plus précieux : un processus respectueux de qui vous êtes et des mécanismes cérébraux et émotionnels.
Pour obtenir des résultats durables, il est essentiel de :
1. Accepter votre rythme : comparez-vous à vous-même, pas aux autres.
2. Accepter que le changement prend du temps (comme la guérison d’une blessure physique) et faire confiance au processus
3. S’engager dans un accompagnement progressif pour permettre au cerveau de se réorganiser.
4. Collaborer activement avec le kinésiologue en appliquant les outils proposés en dehors des séances.
La kinésiologie, c’est comme apprendre à danser : les premiers pas peuvent sembler maladroits, mais avec le temps, le corps et l’esprit trouvent leur rythme.
→ Le bien-être durable ne se construit pas en un jour, mais séance après séance, à travers un travail conjoint entre le praticien et le client.
Références : Cuijpers, P. et al. (2013). The efficacy of short-term psychodynamic psychotherapy for depression: A meta-analysis. Psychological Bulletin, 139(2), 435-451. Klein, S. B., & Boals, A. (2017). Expressive writing can increase working memory capacity. Frontiers in Psychology, 8, 1696. |
• Livres :
◦ The Brain That Changes Itself (Norman Doidge) pour comprendre la neuroplasticité.
◦ The Body Keeps the Score (Bessel van der Kolk) sur les liens entre corps et traumatismes.
• Articles :
◦ "How the Brain Rewires Itself" (Scientific American, 2014).
◦ "The Science of Changing Your Mind" (Nature, 2019).
06/08/2025
L’été, c’est le soleil, les longues journées, les apéros en terrasse, les grasses matinées… Bref, le moment idéal pour se détendre et relâcher la pression. Mais avez-vous déjà remarqué que, justement au moment où vous commencez à souffler, votre corps réagit ? Une petite maladie qui survient dès le début des vacances, des tensions qui refont surface une fois reposé·e, des émotions qui émergent sans prévenir… Ou à l’inverse, une sensation de calme profond, presque inexplicable ?
Ce n’est pas un hasard. Quand le mental lâche enfin, le corps trouve l’espace pour s’exprimer.
Toute l’année, notre quotidien est souvent rythmé par des obligations, des imprévus, des sollicitations constantes. Dans ce tumulte, le mental prend le dessus : il gère, il contrôle, il avance. Le corps, lui, encaisse. Il garde en mémoire les tensions, les émotions non exprimées, les stress non évacués.
Mais pendant les vacances, quand le rythme ralentit, le mental baisse un peu la garde. Et là, surprise : des douleurs apparaissent, des émotions refont surface, des rêves étranges surgissent. Ce n’est pas un hasard. C’est souvent à ce moment-là que le corps commence à « décompresser ».
☀️ 1. Prenez un moment par jour pour respirer en conscience
Sans téléphone, sans distraction. Juste vous, quelques minutes, pour respirer et observer ce qui se passe à l’intérieur.
Je vous invite à lire l’article dédié sur la respiration ventrale pour vous y aider.

🖋 2. Tenez un petit carnet d’émotions
Notez ce que vous ressentez, ce qui revient souvent dans vos pensées ou ce que votre corps semble vouloir vous dire (tensions, douleurs, sensations). Faites le sans retenue, sans jugement, sans censure : laissez vraiment venir ce qui vient.

🌊 3. Accueillez sans juger
Tout ce que vous ressentez est ok et légitime : ne minimisez pas et ne retenez pas.
Pas besoin de tout comprendre tout de suite. Accueillir ce qui vient, accepter ses ressentis, ses émotions sans chercher à les analyser, est déjà une première étape vers la libération.

Si les vacances vous permettent de prendre conscience de certains blocages ou si vous ressentez le besoin d’aller plus loin, la kinésiologie peut vous accompagner en douceur à la rentrée. Elle aide à prendre conscience puis à libérer les stress enregistrés dans le corps, pour un retour au quotidien plus serein, plus aligné.
Un peu de lecture pour comprendre ce que le corps exprime :
29/07/2025

Typologie : Quand Utiliser l'Essence de Pérélendra de la Tomate ?
L'essence de Pérélendra de la tomate est recommandée lorsque une infection ou une maladie s'est installée dans le corps et qu'elle affecte le système endocrinien. Ce système, qui régule de nombreuses fonctions corporelles grâce aux hormones, peut être perturbé par divers agents pathogènes. Dans ces cas, l'essence de Pérélendra de la tomate peut jouer un rôle crucial dans le processus de guérison.
Bienfaits : Les Vertus de l'Essence de Pérélendra de la Tomate
Action Nettoyante : L'une des principales propriétés de l'essence de Pérélendra de la tomate est son action nettoyante. Elle aide à purifier le corps, éliminant les toxines et les agents pathogènes qui peuvent aggraver les infections ou les maladies.
Aide à Chasser la Maladie ou l'Infection : En stimulant les mécanismes de défense naturels du corps, cette essence aide à chasser la maladie ou l'infection. Elle renforce le système immunitaire, permettant ainsi au corps de mieux combattre les agents pathogènes.
Utilisation en Cas de Blessures Légères : En plus de ses bienfaits internes, l'essence de Pérélendra de la tomate peut également être utilisée en cas de blessures légères. Elle peut être prise oralement ou appliquée autour de la blessure pour favoriser une guérison plus rapide et réduire le risque d'infection.
L'Essence de Pérélendra de la Tomate : Son utilisation en Kinésiologie
Sur le plan émotionnel, l’essence de Pérélendra de la Tomate nous accompagne lorsqu’émerge une sensation de rejet ou d’inacceptabilité liée à une séparation — qu’il s’agisse d’une séparation d’avec une autre personne ou d’une part de soi-même. Ce type de vécu peut engendrer une agitation intérieure, un sentiment de vide ou de déracinement.

L’essence aide alors à revenir à l’unité intérieure, à se recentrer. Elle invite à accueillir ce qui est là, sans se juger, pour peu à peu retrouver le calme.
Le conseil de l’essence :
Prendre un moment pour revenir à l’intérieur de soi. Observer avec douceur ce qui se présente, laisser le ressenti s’exprimer… et permettre au calme de s’installer naturellement.
Sources : cours de l'IEK - Institut Européen de Kinésiologie
20/07/2025
Dans un monde où le stress et la pression sont omniprésents, de nombreuses personnes développent des comportements compulsifs : peurs irrationnelles, besoin de contrôle, dépendances ou rituels envahissants. Ces comportements, bien qu’ils puissent sembler différents en surface, ont souvent une racine commune : ils sont souvent le résultat de mécanismes de défense psychologiques suite à un déséquilibre émotionnel profond souvent inconscient qui, bien qu'utiles à court terme, peuvent devenir problématiques à long terme.
Et si l’on pouvait écouter le corps pour comprendre ce qui se joue à un autre niveau ? C’est précisément ce que propose la kinésiologie.
Les personnes souffrant de phobies vivent cette peur intense et paralysante au niveau conscient lorsqu’elles se trouvent à proximité de l’objet de leur peur, mais elles n’ont aucun contrôle conscient de cette émotion. Elles savent que c’est irrationnel mais c’est le passé qui régit le présent : la peur vécue dans le passé prend le dessus sur le présent.
Le but de la phobie est d’éviter toute répétition douloureuse du passé : au moment du stress causal, le cerveau a symbolisé la peur ressentie sur un objet qu’il voit à proximité de lui : il n’y a donc pas forcément de lien entre l’objet de la phobie et la cause.
L’addiction peut impliquer l’ingestion continue de quelque chose qui a des effets sur le métabolisme du corps (médicaments, drogue, etc.). Elle implique souvent aussi une longue période de temps, et lorsqu’une personne arrête d’ingérer ce quelque chose, le corps doit réajuster sa biochimie, son métabolisme, phénomène qui se traduit par des symptômes de « manque » physique ou mental.
L’addiction ne se limite pas à des substances ingérées : il est possible de devenir dépendant d’un comportement, d’une personne ou d’un endroit ou de quoi que ce soit (jeux, téléphone, etc.). En effet, l’objet de l’addiction sert à remplacer la peur vécue par la sensation que nous avons ce que nous voulons réellement.
Le but de l’addiction est de nous maintenir dans le présent en nous sentant aussi bien que possible : la satisfaction n’existe que dans l’ici et le maintenant qui représente un endroit plus sûr que « à ce moment-là ».
L’objet de l’obsession peut aller du désir de perfection à l’argent, à la sécurité, mais aussi être un fétiche spécifique, sexuel ou autre. Toutes les obsessions ont un point commun : ce n’est jamais assez.
Le but de l’obsession est la satisfaction future : la personne met l’accent sur le futur et a des des difficultés à fonctionner efficacement dans le présent.
Ces comportements ne sont donc pas un simple manque de volonté. Ils sont souvent le reflet d’un conflit intérieur, d’une mémoire émotionnelle non résolue ou d’un stress ancien que le corps tente de gérer à sa manière.
Le corps garde en mémoire tout ce que nous vivons : chocs émotionnels, stress prolongés, blessures de l’enfance… Même si nous avons "oublié", lui se souvient. C’est ce que la kinésiologie appelle la mémoire cellulaire.
Ces mémoires non digérées peuvent créer des réactions automatiques : éviter une situation à tout prix, compenser un vide intérieur par une consommation, chercher le contrôle dans l’obsession… Ces réponses sont des tentatives du corps pour gérer un déséquilibre.
Grâce au test musculaire qui permet de déceler ce qui stresse consciemment ou inconsciemment la personne, la kinésiologie permet d’accéder à ces mémoires inconscientes et d’identifier les causes profondes d’un comportement compulsif. Le corps "parle", et le praticien l’écoute.
Chaque séance vise à :

Ce processus favorise un retour à la conscience, une forme de "réconciliation intérieure" qui permet de reprendre les rênes de sa vie et d’agir en toute conscience.

Il n’y a pas de comportement « irrationnel » : tout a un sens, même s’il est profondément enfoui. La kinésiologie n’efface pas les difficultés du jour au lendemain (ce n’est pas une baguette magique et plusieurs séances peuvent être nécessaires), mais elle ouvre un espace de compréhension et de transformation. Une porte vers plus de liberté intérieure, là où les compulsions enfermaient.
Sources : cours de l’IEK - Institut Européen de Kinésiologie
14/07/2025
🎉 Je vous donne rendez-vous le samedi 30 août 2025 à partir de 14h pour la 3e édition des Bucoliques à En Solomiac à Verfeil ! 🌿
✨ Au programme : des échanges autour de la kinésiologie et des séances découvertes accessibles à toutes et tous (participation libre).
Une belle occasion de se rencontrer et de vous faire découvrir cette pratique qui me passionne 💚
Et pour découvrir le programme complet de cette édition :
https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=1294049769397309&id=100063768954673
À très vite !

09/07/2025
Sous stress, lors d'un effort physique ou encore en cas de concentration mentale, nous pouvons inconsciemment bloquer notre respiration et ainsi se retrouver en apnée.
L'exercice de la respiration ventrale apprend à respirer pleinement : une bonne respiration permet de prendre une bonne quantité d'oxygène, élément indispensable au bon fonctionnement du cerveau et par effet boomerang sur tout le corps.

Déroulé de l'exercice
Astuces pour la respiration ventrale
Bienfaits de la respiration ventrale
Sources : "Brain Gym Le mouvement, clé de l'apprentissage" Paul et Gail Dennison Editions Le souffle d'or.
25 route des coteaux
81500 TEULAT
07 81 32 49 80
contact@delphineassie.fr
Du lundi au vendredi : 10h30 - 19h
1 samedi sur 2 : 10h30 - 15h