25/09/2025
Saviez-vous que bâiller est l’un des meilleurs anti-stress naturels ?
Ce réflexe, souvent perçu comme impoli ou signe de lassitude, est en réalité une mine d’or pour votre bien-être. En quelques secondes, il améliore la circulation sanguine dans le visage, détend les yeux et libère les tensions accumulées dans la mâchoire, les épaules… et même le bassin ! Avoir envie de bâiller indique surtout que votre corps a besoin de relâcher.
Le bâillement est un réflexe respiratoire naturel qui oxygène le cerveau et active le système nerveux parasympathique (celui qui nous met en mode "repos et digestion"). Quand vous bâillez :
Attention : Le réprimer, c’est comme bloquer une soupape de sécurité. Résultat ? Les tensions s’accumulent dans la mâchoire, remontent vers les tempes (provoquant des maux de tête) et descendent vers les épaules, voire le bassin. À la clé : des douleurs chroniques, une sensation de sinusite ou même des troubles de la posture.
Bénéfice | Explication |
Détend les muscles du visage | Libère la mâchoire (souvent contractée sous stress) et prévient les douleurs cervicales |
Améliore la concentration | Oxygène le cerveau, boostant la clarté mentale |
Réduit le stress | Active la production de sérotonine, l’hormone du bien-être |
Soulage les yeux | Stimule les glandes lacrymales, idéal pour les personnes souffrant de sécheresse oculaire |
Équilibre la posture | En relâchant la mâchoire, il réduit les compensations musculaires (épaules, dos) |
Même si le bâillement est souvent spontané, vous pouvez le provoquer pour en tirer les bénéfices à tout moment. Voici comment faire :
Répétez l'opération au minimum 3 fois ou jusqu'à ce que vos yeux commencent à pleurer.
Astuce : avant de commencer, observez les éventuelles tensions dans la vision, la respiration et la spontanéité de l'expression. Les muscles du visage sont-ils détendus ? Une fois l'activité terminée, réitérez les observations. Comment vous sentez-vous après ?
À éviter :
En kinésiologie, la mâchoire est souvent appelée "la porte du stress".
Lorsque nous sommes stressé, nous serrons souvent de façon inconsciente les dents. Dans ce cas, le corps est alors en mode "survie".
Le bâillement, lui, envoie un signal de sécurité au système nerveux. C’est pourquoi les praticiens l’utilisent pour :
Testez par vous-même :
Bâillez consciemment 3 fois par jour (matin, midi, soir) et notez les changements :
Sources :
15/09/2025
Le deuil est une expérience universelle, bien plus vaste que la simple perte d’un être cher. Il peut survenir après une dispute, une séparation, un changement majeur, ou même une prise de conscience profonde.
En kinésiologie, nous considérons le deuil comme un processus naturel, nécessaire à notre évolution. Chaque étape, bien que douloureuse, est une opportunité de transformation. Mais pour que ce processus soit complet, il faut traverser toutes ses phases sans en omettre aucune. Sinon, les émotions non résolues peuvent resurgir plus tard, parfois de manière inattendue.
Le deuil n’est pas linéaire, et sa durée varie d’une personne à l’autre. Ce qui compte, c’est de ne pas s’y attarder indéfiniment, car chaque étape doit mener à la suivante. La peur est souvent présente : peur de changer, peur de lâcher prise, peur de l’inconnu. Pourtant, c’est en acceptant cette peur que l’on avance.
La première réaction est souvent la sidération. Le corps et l’esprit se figent, comme pour absorber l’impact. Cette phase peut être violente ou discrète, traumatisante ou passagère.
En kinésiologie, nous encourageons la personne à parler, à répéter ce qu’elle ressent. Verbaliser active l’aire de Broca, ce qui permet de calmer le système limbique et de sortir de l’émotion brute.
« Non, ce n’est pas possible. »
Le déni est une protection temporaire, une fuite face à l’inacceptable. Pour avancer, il est crucial d’aider la personne à nommer les choses, surtout dans le cas d’un décès. Prononcer le mot « mort » permet de conscientiser la réalité et de préparer le terrain pour les étapes suivantes.
La colère est une réaction naturelle face à l’injustice ou à l’incompréhension. Elle peut se manifester par de la frustration, de la victimisation, ou une rage diffuse.
L’enjeu ? Comprendre la source de cette colère et l’exprimer. Une colère mal canalisée peut se retourner contre soi ou contre le monde. En kinésiologie, nous travaillons à identifier les blocages pour transformer cette énergie en action constructive.
« Et si j’avais fait autrement ? » « J’aurais dû… » Cette phase est marquée par la culpabilité et les regrets. Elle permet de se rassurer, de chercher un sens. Mais attention : trop de « et si » peut maintenir dans l’illusion. L’objectif est d’accepter que certaines choses échappent à notre contrôle.
La tristesse est une étape clé, où la douleur se manifeste pleinement : pleurs, nostalgie, sensation de vide. Il est important de distinguer :
La vraie tristesse est un adieu, une libération. La dépression, en revanche, est un piège où la personne s’installe dans la souffrance sans avancer.
Accepter ne signifie pas renoncer ou subir. C’est reconnaître la réalité sans résistance. La douleur est là, mais on choisit de ne plus en faire une souffrance. C’est le début de la reconstruction.
Une fois l’acceptation atteinte, une nouvelle perspective émerge. La situation est vue différemment, et la pensée évolue. Ce qui semblait insurmontable devient une expérience qui nous a façonnés.
Le deuil n’est pas une fin, mais une transformation. Chaque perte nous enrichit, nous apprend quelque chose.
En kinésiologie, nous considérons qu’il n’y a pas d’échec, seulement des leçons. La résilience, c’est la capacité à intégrer l’expérience et à en faire une force.
En kinésiologie, nous accompagnons les personnes à distinguer les deux pour éviter de rester bloqué dans un cycle de souffrance.
La kinésiologie offre des outils pour :
✅ Libérer les émotions bloquées.
✅ Retrouver un équilibre physique et émotionnel.
✅ Transformer les croyances limitantes liées au deuil.
✅ Réactiver la capacité à avancer en harmonisant corps et esprit.
Le deuil n’est pas une épreuve à subir, mais un passage vers une nouvelle version de soi.
09/09/2025
Vous sentez-vous souvent tendu(e), submergé(e) par le stress ou en manque d’énergie ? L’atelier Pulse Zen est conçu pour vous aider à réactiver votre vitalité tout en relâchant les tensions accumulées. À travers des mouvements coordonnés, simples et doux, cet atelier vous guidera vers un état de détente profonde et de recentrage.
Inspiré du Brain Gym (Edu-kinésiologie), cet atelier propose des exercices accessibles à tous, combinant :
Que vous soyez débutant ou initié, cet atelier est une invitation à reconnecter avec votre corps et à retrouver un équilibre naturel.
L’après-midi sera consacrée à une introduction douce et efficace à la kinésiologie, une approche holistique qui allie :
Cette séance individuelle de 30 minutes vous permettra de :
✅ Identifier et libérer des tensions (stress, anxiété, fatigue),
✅ Découvrir comment les essences florales peuvent vous accompagner au quotidien notamment concernant la gestion des émotions,
✅ Expérimenter une méthode douce pour retrouver sérénité et clarté mentale.
Un flacon d’essences florales vous sera offert pour prolonger les bienfaits de la séance chez vous.
📍 Lieu : Maison d’Angèle – 19 route de Castres, 31130 Quint-Fonsegrives
📞 Réservations : 07 81 32 49 80
✉ Contact : contact@delphineassie.fr
Places limitées – Sur inscription !
Et vous, prêt(e) à vivre une journée 100% détente et découverte ?
Rejoignez-nous le 20 septembre 2025 pour une parenthèse ressourçante !
#Kinésiologie #BienÊtre #BrainGym #ÉquilibreÉmotionnel #QuintFonsegrives
03/09/2025
La kinésiologie n’est pas une course, mais une exploration.
Imaginez un stress chronique lié au travail : il s’est installé sur des mois, voire des années, enroulant ses racines autour de vos pensées et de vos émotions, et créant des connexions neuronales associées à la peur ou à l’anxiété. Une séance peut vous aider à en identifier l’origine (une peur de l’échec, un manque de reconnaissance), mais le "désamorcer" demandera du temps, comme dénouer un nœud serré. Vos blocages ne se sont pas créés en un jour ; ils ne disparaîtront pas en une heure.
Pourquoi ? Parce que votre corps et votre esprit ont besoin de réapprendre à fonctionner différemment. Comme un musicien qui répète une mélodie jusqu’à ce qu’elle devienne naturelle, votre système nerveux a besoin de pratique pour ancrer de nouveaux schémas. Une étude publiée dans Nature Neuroscience (2018) montre que la neuroplasticité — la capacité du cerveau à se réorganiser — nécessite une exposition progressive pour ancrer de nouveaux comportements, comme un musicien répète une partition jusqu’à ce qu’elle devienne instinctive.
Référence : Namburi, P., & Tye, K. M. (2018). The amygdala and prefrontal cortex in decision-making. Nature |
Alors, pourquoi nos blocages résistent-ils autant ? Parce que notre cerveau est programmé pour se méfier du changement — même quand il est bénéfique.
Nos blocages sont comme des pelotes de laine emmêlées : plus on tire dessus brutalement, plus le nœud se serre.
Voici pourquoi ils résistent :
a) Le cerveau et la peur de l’inconnu : un frein naturel
Notre cerveau préfère un mal connu à un bien inconnu. Même si une croyance ou une émotion vous limite, elle vous est familière — et donc rassurante. Ce phénomène, appelé biais de statu quo, est lié à l’activation de l’amygdale, une région cérébrale impliquée dans la gestion de la peur. Quand un changement se profile (même positif), l’amygdale active des signaux d’alerte, comme si elle disait : "Reste dans ta zone de confort, c’est plus sûr."
Prenez une phobie, comme la peur de l’avion. La kinésiologie peut révéler que cette peur est liée à un souvenir d’enfance (un film angoissant, une turbulence vécue comme un traumatisme). Mais pour que le cerveau "réapprenne" à associer l’avion à la sécurité, il faut répéter l’expérience en séance, comme on s’entraîne à monter à vélo après une chute.
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b) Des études le confirment
Des recherches en neurosciences, comme celles présentées dans The Brain That Changes Itself de Norman Doidge, montrent que le cerveau met en moyenne 3 à 6 mois à ancrer de nouveaux schémas comportementaux. Une séance est un début, mais c’est la répétition qui crée un changement durable.
C’est pourquoi, en kinésiologie, on parle de processus plutôt que de solution instantanée : chaque séance est une étape vers cette réorganisation cérébrale.
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Chacun avance à son propre tempo. Certains ressentent un soulagement dès la première séance, d’autres ont besoin de plusieurs rendez-vous pour observer des changements.
• Votre histoire est unique — alors pourquoi votre parcours de kinésiologie ne le serait-il pas ?
• Votre corps est comme un livre dont les chapitres s’écrivent au fil des séances. La première page ne raconte pas toute l’histoire.
Comparaison : Si votre ami·e guérit d’une blessure en trois séances alors que vous en avez besoin de six, cela ne signifie pas que "ça ne marche pas". Cela signifie simplement que votre chemin est différent.
Cette variabilité s’explique par des différences dans :
• La sensibilité du système nerveux (certains sont naturellement plus réactifs au stress).
• L’épigénétique : vos gènes interagissent avec votre environnement pour façonner votre résilience. Une étude de Nature Reviews Genetics (2015) montre que les expériences passées modulent l’expression de gènes liés au stress, rendant chaque parcours unique.
Par exemple, une personne ayant vécu un traumatisme précoce peut avoir besoin de plus de séances qu’une autre pour rééquilibrer son système nerveux, car ses 'circuits de stress' sont plus profondément ancrés.
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La kinésiologie fonctionne comme l’épluchage d’un oignon : couche après couche.
• Première couche : les tensions visibles (stress, anxiété, douleurs physiques).
• Couches suivantes : les émotions enfouies (colère, tristesse, peurs anciennes).
• Cœur de l’oignon : les croyances profondes, souvent liées à l’enfance ou à des schémas familiaux.
Pourquoi ne pas tout éplucher d’un coup ? Parce que cela activerait une surcharge émotionnelle, serait douloureux et contre-productif. Imaginez que l’on vous demande de revivre toutes vos émotions difficiles en une seule fois… Ce serait comme avaler l’oignon entier : les larmes couleraient, et vous ne seriez pas prêt·e à avancer.
Comme le montre une étude sur le traitement des traumatismes (Journal of Traumatic Stress, 2010), le cerveau a besoin de dosages progressifs pour intégrer les prises de conscience sans se sentir submergé.
En kinésiologie, on avance ensemble, à votre rythme — comme on épluche un oignon : une couche à la fois, avec ses émotions, ses surprises, et ses prises de conscience. Pas de précipitation, juste l’écoute de ce qui émerge, quand vous êtes prêt·e.
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Le rôle du kinésiologue n’est pas de "réparer" ce qui ne va pas, mais de vous accompagner pour activer vos propres ressources et que vous trouviez vos propres solutions.
• Ce qu’il/elle fait :
◦ Crée un espace sécurisé pour explorer vos blocages.
◦ Utilise des outils (comme le test musculaire) pour identifier les déséquilibres et ce qui est source de stress.
◦ Vous guide vers une meilleure compréhension de vous-même.
• Ce qu’il/elle ne fait pas :
◦ Vous dire ce que vous devez faire.
◦ Forcer un changement que vous n’êtes pas prêt·e à vivre.
Par exemple, si vous ressentez une douleur chronique au dos, le kinésiologue explorera avec vous les liens possibles entre cette douleur et des tensions émotionnelles (stress, colère refoulée, etc.).
Le kinésiologue est un traducteur : il aide à décoder les messages que votre corps murmure depuis des années. Une séance, c’est comme ouvrir une lettre écrite dans un langage secret – celui de votre corps et il faut du temps pour en saisir toute la signification.
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Une première séance peut apporter :
• Un souffle d’air frais (la libération d’endorphines, ces molécules du bien-être).
• Une prise de conscience (comme une lumière qui s’allume dans une pièce obscure).
• L’éveil de ressources insoupçonnées (cette force tranquille que vous aviez enfouie).
Mais attention : ce n’est qu’un début.
Planter une graine et s’impatienter parce qu’elle ne devient pas un arbre en une nuit, c’est oublier que la nature a son propre rythme. Comme une graine, le changement a besoin de terreau, d’eau et de soleil pour grandir.
Ces premiers pas sont précieux, mais c’est à vous de les faire grandir entre les séances en pratiquant les outils proposés notamment.
La kinésiologie ne promet pas de miracles, mais elle offre quelque chose de bien plus précieux : un processus respectueux de qui vous êtes et des mécanismes cérébraux et émotionnels.
Pour obtenir des résultats durables, il est essentiel de :
1. Accepter votre rythme : comparez-vous à vous-même, pas aux autres.
2. Accepter que le changement prend du temps (comme la guérison d’une blessure physique) et faire confiance au processus
3. S’engager dans un accompagnement progressif pour permettre au cerveau de se réorganiser.
4. Collaborer activement avec le kinésiologue en appliquant les outils proposés en dehors des séances.
La kinésiologie, c’est comme apprendre à danser : les premiers pas peuvent sembler maladroits, mais avec le temps, le corps et l’esprit trouvent leur rythme.
→ Le bien-être durable ne se construit pas en un jour, mais séance après séance, à travers un travail conjoint entre le praticien et le client.
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• Livres :
◦ The Brain That Changes Itself (Norman Doidge) pour comprendre la neuroplasticité.
◦ The Body Keeps the Score (Bessel van der Kolk) sur les liens entre corps et traumatismes.
• Articles :
◦ "How the Brain Rewires Itself" (Scientific American, 2014).
◦ "The Science of Changing Your Mind" (Nature, 2019).
07/08/2025
L’été, c’est le soleil, les longues journées, les apéros en terrasse, les grasses matinées… Bref, le moment idéal pour se détendre et relâcher la pression. Mais avez-vous déjà remarqué que, justement au moment où vous commencez à souffler, votre corps réagit ? Une petite maladie qui survient dès le début des vacances, des tensions qui refont surface une fois reposé·e, des émotions qui émergent sans prévenir… Ou à l’inverse, une sensation de calme profond, presque inexplicable ?
Ce n’est pas un hasard. Quand le mental lâche enfin, le corps trouve l’espace pour s’exprimer.
Toute l’année, notre quotidien est souvent rythmé par des obligations, des imprévus, des sollicitations constantes. Dans ce tumulte, le mental prend le dessus : il gère, il contrôle, il avance. Le corps, lui, encaisse. Il garde en mémoire les tensions, les émotions non exprimées, les stress non évacués.
Mais pendant les vacances, quand le rythme ralentit, le mental baisse un peu la garde. Et là, surprise : des douleurs apparaissent, des émotions refont surface, des rêves étranges surgissent. Ce n’est pas un hasard. C’est souvent à ce moment-là que le corps commence à « décompresser ».
☀️ 1. Prenez un moment par jour pour respirer en conscience
Sans téléphone, sans distraction. Juste vous, quelques minutes, pour respirer et observer ce qui se passe à l’intérieur.
Je vous invite à lire l’article dédié sur la respiration ventrale pour vous y aider.
🖋 2. Tenez un petit carnet d’émotions
Notez ce que vous ressentez, ce qui revient souvent dans vos pensées ou ce que votre corps semble vouloir vous dire (tensions, douleurs, sensations). Faites le sans retenue, sans jugement, sans censure : laissez vraiment venir ce qui vient.
🌊 3. Accueillez sans juger
Tout ce que vous ressentez est ok et légitime : ne minimisez pas et ne retenez pas.
Pas besoin de tout comprendre tout de suite. Accueillir ce qui vient, accepter ses ressentis, ses émotions sans chercher à les analyser, est déjà une première étape vers la libération.
Si les vacances vous permettent de prendre conscience de certains blocages ou si vous ressentez le besoin d’aller plus loin, la kinésiologie peut vous accompagner en douceur à la rentrée. Elle aide à prendre conscience puis à libérer les stress enregistrés dans le corps, pour un retour au quotidien plus serein, plus aligné.
Un peu de lecture pour comprendre ce que le corps exprime :
30/07/2025
L'essence de Pérélendra de la tomate est recommandée lorsque une infection ou une maladie s'est installée dans le corps et qu'elle affecte le système endocrinien. Ce système, qui régule de nombreuses fonctions corporelles grâce aux hormones, peut être perturbé par divers agents pathogènes. Dans ces cas, l'essence de Pérélendra de la tomate peut jouer un rôle crucial dans le processus de guérison.
Action Nettoyante : L'une des principales propriétés de l'essence de Pérélendra de la tomate est son action nettoyante. Elle aide à purifier le corps, éliminant les toxines et les agents pathogènes qui peuvent aggraver les infections ou les maladies.
Aide à Chasser la Maladie ou l'Infection : En stimulant les mécanismes de défense naturels du corps, cette essence aide à chasser la maladie ou l'infection. Elle renforce le système immunitaire, permettant ainsi au corps de mieux combattre les agents pathogènes.
Utilisation en Cas de Blessures Légères : En plus de ses bienfaits internes, l'essence de Pérélendra de la tomate peut également être utilisée en cas de blessures légères. Elle peut être prise oralement ou appliquée autour de la blessure pour favoriser une guérison plus rapide et réduire le risque d'infection.
Sur le plan émotionnel, l’essence de Pérélendra de la Tomate nous accompagne lorsqu’émerge une sensation de rejet ou d’inacceptabilité liée à une séparation — qu’il s’agisse d’une séparation d’avec une autre personne ou d’une part de soi-même. Ce type de vécu peut engendrer une agitation intérieure, un sentiment de vide ou de déracinement.
L’essence aide alors à revenir à l’unité intérieure, à se recentrer. Elle invite à accueillir ce qui est là, sans se juger, pour peu à peu retrouver le calme.
Le conseil de l’essence :
Prendre un moment pour revenir à l’intérieur de soi. Observer avec douceur ce qui se présente, laisser le ressenti s’exprimer… et permettre au calme de s’installer naturellement.
Sources : cours de l'IEK - Institut Européen de Kinésiologie
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