14/09/2025
Le deuil est une expérience universelle, bien plus vaste que la simple perte d’un être cher. Il peut survenir après une dispute, une séparation, un changement majeur, ou même une prise de conscience profonde.
En kinésiologie, nous considérons le deuil comme un processus naturel, nécessaire à notre évolution. Chaque étape, bien que douloureuse, est une opportunité de transformation. Mais pour que ce processus soit complet, il faut traverser toutes ses phases sans en omettre aucune. Sinon, les émotions non résolues peuvent resurgir plus tard, parfois de manière inattendue.
Le deuil n’est pas linéaire, et sa durée varie d’une personne à l’autre. Ce qui compte, c’est de ne pas s’y attarder indéfiniment, car chaque étape doit mener à la suivante. La peur est souvent présente : peur de changer, peur de lâcher prise, peur de l’inconnu. Pourtant, c’est en acceptant cette peur que l’on avance.
La première réaction est souvent la sidération. Le corps et l’esprit se figent, comme pour absorber l’impact. Cette phase peut être violente ou discrète, traumatisante ou passagère.
En kinésiologie, nous encourageons la personne à parler, à répéter ce qu’elle ressent. Verbaliser active l’aire de Broca, ce qui permet de calmer le système limbique et de sortir de l’émotion brute.
« Non, ce n’est pas possible. »
Le déni est une protection temporaire, une fuite face à l’inacceptable. Pour avancer, il est crucial d’aider la personne à nommer les choses, surtout dans le cas d’un décès. Prononcer le mot « mort » permet de conscientiser la réalité et de préparer le terrain pour les étapes suivantes.
La colère est une réaction naturelle face à l’injustice ou à l’incompréhension. Elle peut se manifester par de la frustration, de la victimisation, ou une rage diffuse.
L’enjeu ? Comprendre la source de cette colère et l’exprimer. Une colère mal canalisée peut se retourner contre soi ou contre le monde. En kinésiologie, nous travaillons à identifier les blocages pour transformer cette énergie en action constructive.
« Et si j’avais fait autrement ? » « J’aurais dû… » Cette phase est marquée par la culpabilité et les regrets. Elle permet de se rassurer, de chercher un sens. Mais attention : trop de « et si » peut maintenir dans l’illusion. L’objectif est d’accepter que certaines choses échappent à notre contrôle.
La tristesse est une étape clé, où la douleur se manifeste pleinement : pleurs, nostalgie, sensation de vide. Il est important de distinguer :
La vraie tristesse est un adieu, une libération. La dépression, en revanche, est un piège où la personne s’installe dans la souffrance sans avancer.
Accepter ne signifie pas renoncer ou subir. C’est reconnaître la réalité sans résistance. La douleur est là, mais on choisit de ne plus en faire une souffrance. C’est le début de la reconstruction.
Une fois l’acceptation atteinte, une nouvelle perspective émerge. La situation est vue différemment, et la pensée évolue. Ce qui semblait insurmontable devient une expérience qui nous a façonnés.
Le deuil n’est pas une fin, mais une transformation. Chaque perte nous enrichit, nous apprend quelque chose.
En kinésiologie, nous considérons qu’il n’y a pas d’échec, seulement des leçons. La résilience, c’est la capacité à intégrer l’expérience et à en faire une force.
En kinésiologie, nous accompagnons les personnes à distinguer les deux pour éviter de rester bloqué dans un cycle de souffrance.
La kinésiologie offre des outils pour :
✅ Libérer les émotions bloquées.
✅ Retrouver un équilibre physique et émotionnel.
✅ Transformer les croyances limitantes liées au deuil.
✅ Réactiver la capacité à avancer en harmonisant corps et esprit.
Le deuil n’est pas une épreuve à subir, mais un passage vers une nouvelle version de soi.
06/08/2025
L’été, c’est le soleil, les longues journées, les apéros en terrasse, les grasses matinées… Bref, le moment idéal pour se détendre et relâcher la pression. Mais avez-vous déjà remarqué que, justement au moment où vous commencez à souffler, votre corps réagit ? Une petite maladie qui survient dès le début des vacances, des tensions qui refont surface une fois reposé·e, des émotions qui émergent sans prévenir… Ou à l’inverse, une sensation de calme profond, presque inexplicable ?
Ce n’est pas un hasard. Quand le mental lâche enfin, le corps trouve l’espace pour s’exprimer.
Toute l’année, notre quotidien est souvent rythmé par des obligations, des imprévus, des sollicitations constantes. Dans ce tumulte, le mental prend le dessus : il gère, il contrôle, il avance. Le corps, lui, encaisse. Il garde en mémoire les tensions, les émotions non exprimées, les stress non évacués.
Mais pendant les vacances, quand le rythme ralentit, le mental baisse un peu la garde. Et là, surprise : des douleurs apparaissent, des émotions refont surface, des rêves étranges surgissent. Ce n’est pas un hasard. C’est souvent à ce moment-là que le corps commence à « décompresser ».
☀️ 1. Prenez un moment par jour pour respirer en conscience
Sans téléphone, sans distraction. Juste vous, quelques minutes, pour respirer et observer ce qui se passe à l’intérieur.
Je vous invite à lire l’article dédié sur la respiration ventrale pour vous y aider.
🖋 2. Tenez un petit carnet d’émotions
Notez ce que vous ressentez, ce qui revient souvent dans vos pensées ou ce que votre corps semble vouloir vous dire (tensions, douleurs, sensations). Faites le sans retenue, sans jugement, sans censure : laissez vraiment venir ce qui vient.
🌊 3. Accueillez sans juger
Tout ce que vous ressentez est ok et légitime : ne minimisez pas et ne retenez pas.
Pas besoin de tout comprendre tout de suite. Accueillir ce qui vient, accepter ses ressentis, ses émotions sans chercher à les analyser, est déjà une première étape vers la libération.
Si les vacances vous permettent de prendre conscience de certains blocages ou si vous ressentez le besoin d’aller plus loin, la kinésiologie peut vous accompagner en douceur à la rentrée. Elle aide à prendre conscience puis à libérer les stress enregistrés dans le corps, pour un retour au quotidien plus serein, plus aligné.
Un peu de lecture pour comprendre ce que le corps exprime :
29/07/2025
L'essence de Pérélendra de la tomate est recommandée lorsque une infection ou une maladie s'est installée dans le corps et qu'elle affecte le système endocrinien. Ce système, qui régule de nombreuses fonctions corporelles grâce aux hormones, peut être perturbé par divers agents pathogènes. Dans ces cas, l'essence de Pérélendra de la tomate peut jouer un rôle crucial dans le processus de guérison.
Action Nettoyante : L'une des principales propriétés de l'essence de Pérélendra de la tomate est son action nettoyante. Elle aide à purifier le corps, éliminant les toxines et les agents pathogènes qui peuvent aggraver les infections ou les maladies.
Aide à Chasser la Maladie ou l'Infection : En stimulant les mécanismes de défense naturels du corps, cette essence aide à chasser la maladie ou l'infection. Elle renforce le système immunitaire, permettant ainsi au corps de mieux combattre les agents pathogènes.
Utilisation en Cas de Blessures Légères : En plus de ses bienfaits internes, l'essence de Pérélendra de la tomate peut également être utilisée en cas de blessures légères. Elle peut être prise oralement ou appliquée autour de la blessure pour favoriser une guérison plus rapide et réduire le risque d'infection.
Sur le plan émotionnel, l’essence de Pérélendra de la Tomate nous accompagne lorsqu’émerge une sensation de rejet ou d’inacceptabilité liée à une séparation — qu’il s’agisse d’une séparation d’avec une autre personne ou d’une part de soi-même. Ce type de vécu peut engendrer une agitation intérieure, un sentiment de vide ou de déracinement.
L’essence aide alors à revenir à l’unité intérieure, à se recentrer. Elle invite à accueillir ce qui est là, sans se juger, pour peu à peu retrouver le calme.
Le conseil de l’essence :
Prendre un moment pour revenir à l’intérieur de soi. Observer avec douceur ce qui se présente, laisser le ressenti s’exprimer… et permettre au calme de s’installer naturellement.
Sources : cours de l'IEK - Institut Européen de Kinésiologie
09/07/2025
Sous stress, lors d'un effort physique ou encore en cas de concentration mentale, nous pouvons inconsciemment bloquer notre respiration et ainsi se retrouver en apnée.
L'exercice de la respiration ventrale apprend à respirer pleinement : une bonne respiration permet de prendre une bonne quantité d'oxygène, élément indispensable au bon fonctionnement du cerveau et par effet boomerang sur tout le corps.
Sources : "Brain Gym Le mouvement, clé de l'apprentissage" Paul et Gail Dennison Editions Le souffle d'or.
04/06/2025
Chaque point doit être massé soit avec le pouce soit avec l'index et le majeur et ce dans le but de ne pas venir modifier la polarité du corps.
Chaque point peut être massé de quelques secondes à 2 minutes. Si le point que vous massez est sensible vous pouvez alléger la pression effectuée et continuer de le masser jusqu'à ce que la sensibilité ait diminué ou totalement disparu.
06/05/2025
Un des nutriments les plus essentiels à notre corps, et avec lequel nous nous sabotons souvent, est l’eau potable bien pure. En effet, notre corps est fait de 70 % d’eau et nous perdons de l’eau tout au long de la journée via :
Il est donc essentiel de remplacer cette eau.
Le corps récupère environ 3,5 verres d’eau de la nourriture ingérée et 0,5 verre d’eau comme dérivé de la production d’énergie.
Nous avons vu que nous perdions approximativement 10 verres d’eau par jour et ce sans compter les suppléments perdus lors de la transpiration suite à une activité physique ou lorsque nous sommes malades ou encore stressés.
Par conséquent, sur une journée une personne a besoin de boire en moyenne 6 à 8 verres d’eau par jour uniquement pour bien fonctionner.
Lors d’une activité physique, d’un épisode de fièvre ou d’un grand stress, il est primordial de boire une quantité plus importante d’eau.
Astuce : pour connaître votre besoin en eau journalier (journée sans activité physique, sans grand stress et sans fièvre) :
« On ne peut pas plus substituer l’eau par d’autres liquides qu’on ne peut remplir la batterie d’une voiture avec du lait, le fer à vapeur avec du jus du tomate , laver les murs avec du café. » Dr Thie
Ainsi le café, le thé, les jus de fruits ou autres liquides ne remplacent pas l’eau potable : en effet, ces boissons même si elles contiennent des nutriments concentrés, comptent plus parmi les aliments que parmi les boissons, car elles augmentent les besoins du corps en eau.
Il est donc important tout au long de la journée de boire de l’eau qu’elle soit minérale, de source ou du robinet en plus du café, du thé ou toute autre boisson sucrée.
Il est très important de ne pas attendre d’avoir soif pour boire mais de boire régulièrement tout au long de la journée.
En effet, la soif est un appel au secours de votre corps : lorsque vous avez soif, votre corps est stressé par le manque d’eau. Certaines personnes peuvent ressentir des douleurs en bas du dos ou des crampes musculaires comme indication de début de déshydratation.
Le sang est constitué d’environ 83 % d’eau : quand la quantité d’eau diminue, le sang s’épaissit et est plus difficilement pompé à travers le corps et spécialement dans le cerveau induisant ainsi un apport plus pauvre en oxygène pour les cellules qui ne peuvent plus travailler efficacement.
La fonction cérébrale commence alors à ralentir et la concentration ainsi que la compréhension se font de plus en plus difficilement. Il est également possible de se sentir plus engourdi ou somnolent.
Une baisse de 4 à 5 % de la quantité d’eau du corps va avoir pour conséquence une réduction de 20 à 30 % de la performance au travail.
Sources :
25 route des coteaux
81500 TEULAT
07 81 32 49 80
contact@delphineassie.fr
Du lundi au vendredi : 10h30 - 19h
1 samedi sur 2 : 10h30 - 15h