21/07/2025
Les comportements compulsifs, qu'il s'agisse de phobies, d'addictions ou d'obsessions, peuvent avoir un impact significatif sur la qualité de vie.
Ces comportements sont souvent le résultat de mécanismes de défense psychologiques qui, bien qu'utiles à court terme, peuvent devenir problématiques à long terme.
Et si la kinésiologie pouvait vous aider ?
Dans un monde où le stress et la pression sont omniprésents, de nombreuses personnes développent des comportements compulsifs : peurs irrationnelles, besoin de contrôle, dépendances ou rituels envahissants. Ces comportements, bien qu’ils puissent sembler différents en surface, ont souvent une racine commune : ils sont souvent le résultat de mécanismes de défense psychologiques suite à un déséquilibre émotionnel profond souvent inconscient qui, bien qu'utiles à court terme, peuvent devenir problématiques à long terme.
Et si l’on pouvait écouter le corps pour comprendre ce qui se joue à un autre niveau ? C’est précisément ce que propose la kinésiologie.
Les personnes souffrant de phobies vivent cette peur intense et paralysante au niveau conscient lorsqu’elles se trouvent à proximité de l’objet de leur peur, mais elles n’ont aucun contrôle conscient de cette émotion. Elles savent que c’est irrationnel mais c’est le passé qui régit le présent : la peur vécue dans le passé prend le dessus sur le présent.
Le but de la phobie est d’éviter toute répétition douloureuse du passé : au moment du stress causal, le cerveau a symbolisé la peur ressentie sur un objet qu’il voit à proximité de lui : il n’y a donc pas forcément de lien entre l’objet de la phobie et la cause.
L’addiction peut impliquer l’ingestion continue de quelque chose qui a des effets sur le métabolisme du corps (médicaments, drogue, etc.). Elle implique souvent aussi une longue période de temps, et lorsqu’une personne arrête d’ingérer ce quelque chose, le corps doit réajuster sa biochimie, son métabolisme, phénomène qui se traduit par des symptômes de « manque » physique ou mental.
L’addiction ne se limite pas à des substances ingérées : il est possible de devenir dépendant d’un comportement, d’une personne ou d’un endroit ou de quoi que ce soit (jeux, téléphone, etc.). En effet, l’objet de l’addiction sert à remplacer la peur vécue par la sensation que nous avons ce que nous voulons réellement.
Le but de l’addiction est de nous maintenir dans le présent en nous sentant aussi bien que possible : la satisfaction n’existe que dans l’ici et le maintenant qui représente un endroit plus sûr que « à ce moment-là ».
L’objet de l’obsession peut aller du désir de perfection à l’argent, à la sécurité, mais aussi être un fétiche spécifique, sexuel ou autre. Toutes les obsessions ont un point commun : ce n’est jamais assez.
Le but de l’obsession est la satisfaction future : la personne met l’accent sur le futur et a des des difficultés à fonctionner efficacement dans le présent.
Ces comportements ne sont donc pas un simple manque de volonté. Ils sont souvent le reflet d’un conflit intérieur, d’une mémoire émotionnelle non résolue ou d’un stress ancien que le corps tente de gérer à sa manière.
Le corps garde en mémoire tout ce que nous vivons : chocs émotionnels, stress prolongés, blessures de l’enfance… Même si nous avons "oublié", lui se souvient. C’est ce que la kinésiologie appelle la mémoire cellulaire.
Ces mémoires non digérées peuvent créer des réactions automatiques : éviter une situation à tout prix, compenser un vide intérieur par une consommation, chercher le contrôle dans l’obsession… Ces réponses sont des tentatives du corps pour gérer un déséquilibre.
Grâce au test musculaire qui permet de déceler ce qui stresse consciemment ou inconsciemment la personne, la kinésiologie permet d’accéder à ces mémoires inconscientes et d’identifier les causes profondes d’un comportement compulsif. Le corps "parle", et le praticien l’écoute.
Chaque séance vise à :
Ce processus favorise un retour à la conscience, une forme de "réconciliation intérieure" qui permet de reprendre les rênes de sa vie et d’agir en toute conscience.
Il n’y a pas de comportement « irrationnel » : tout a un sens, même s’il est profondément enfoui. La kinésiologie n’efface pas les difficultés du jour au lendemain (ce n’est pas une baguette magique et plusieurs séances peuvent être nécessaires), mais elle ouvre un espace de compréhension et de transformation. Une porte vers plus de liberté intérieure, là où les compulsions enfermaient.
Sources : cours de l’IEK - Institut Européen de Kinésiologie
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